
Le 22 janvier 2017 nous avons tenu notre dernier camp de la saison, ce qui signifie que notre objectif de 100 opérations pour l’année avait été atteint. En fait nous en avons réalisé 123. Si le temps continue à être clément, d’autres camps pourront se tenir à la Mission Vivekanand. Cette fois-ci le camp a eu lieu à Maharajganj, et les opérations ont été effectuées l’après-midi même. Des ambulances hospitalières ont amené plus de 110 villageois à l’hôpital de la Mission Vivekanand pour être examinés, et après avoir mesuré la tension artérielle et le taux de glycémie du sang, et effectué un examen général de l’état de santé, 25 d’entre eux furent retenus pour être opérés.
Lors des précédentes journées de chirurgie, il y avait eu quelques problèmes avec le vieux microscope disponible à la Mission. Aujourd’hui un nouveau microscope leur a été prêté ce qui a simplifié et écourté les opérations, selon les médecins. Le fait que les opérations aient été plus rapides a aussi entraîné moins de stress pour ceux qui étaient opérés.
Les patients, ainsi que ceux qui les accompagnent, ont passé la nuit à l’hôpital où ils ont reçu de la nourriture, du chai et des couvertures chaudes pendant la durée de leur séjour. Rester une nuit à l’hôpital réduit les risques post-opératoires causés par l’environnement et par le reste de la famille, en particulier les enfants et leurs jeux bruyants. Cela permet aux patients de demeurer sous contrôle médical 12 heures supplémentaires. Le personnel hospitalier fait tout son possible pour que les patients se sentent à l’aise, et que leur corps ait les meilleures chances de guérison possibles.
Le matin suivant, 23 janvier, un petit déjeuner chaud et du chai sont servis aux patients, puis leurs pansements sont enlevés et les résultats de l’opération sont contrôlés. Toutes les opérations sont déclarées réussies, aussi des instructions sont données pour la prise de médicaments. On distribue alors aux patients les médicaments, du pain, des lunettes noires et des articles de puja (une photo de Sai Maa, un mala de cristal et un livre de chants illustré). Avant de quitter le camp, les patients et leurs accompagnants reçoivent un chai et des sucreries. Après avoir obtenu toutes les réponses à leurs questions, ils repartent pour leur village, totalement satisfaits.
Tout au long des discussions un homme âgé écoute avec une grande intensité. Il reste assis le dos droit, concentré sur ce qui est dit. Lorsque les patients commencent à se disperser, il s’approche de l’équipe. Il s’avère qu’il est très dur d’oreille, ET très autonome. Il ne veut pas que ce soit son fils qui reçoive les instructions concernant les médicaments, et pas lui. Aussi l’assistant du camp, très gentiment, lui communique lentement et à voix forte toutes les instructions directement dans l’oreille. L’assistant parle TRES fort, et après l’avoir écouté, le visage de l’homme s’éclaire de compréhension, et il part très heureux, souriant et parlant fort, toute inquiétude ayant quitté son visage.
Les patients, ainsi que ceux qui les accompagnent, ont passé la nuit à l’hôpital où ils ont reçu de la nourriture, du chai et des couvertures chaudes pendant la durée de leur séjour. Rester une nuit à l’hôpital réduit les risques post-opératoires causés par l’environnement et par le reste de la famille, en particulier les enfants et leurs jeux bruyants. Cela permet aux patients de demeurer sous contrôle médical 12 heures supplémentaires. Le personnel hospitalier fait tout son possible pour que les patients se sentent à l’aise, et que leur corps ait les meilleures chances de guérison possibles.
Le matin suivant, 23 janvier, un petit déjeuner chaud et du chai sont servis aux patients, puis leurs pansements sont enlevés et les résultats de l’opération sont contrôlés. Toutes les opérations sont déclarées réussies, aussi des instructions sont données pour la prise de médicaments. On distribue alors aux patients les médicaments, du pain, des lunettes noires et des articles de puja (une photo de Sai Maa, un mala de cristal et un livre de chants illustré). Avant de quitter le camp, les patients et leurs accompagnants reçoivent un chai et des sucreries. Après avoir obtenu toutes les réponses à leurs questions, ils repartent pour leur village, totalement satisfaits.
Tout au long des discussions un homme âgé écoute avec une grande intensité. Il reste assis le dos droit, concentré sur ce qui est dit. Lorsque les patients commencent à se disperser, il s’approche de l’équipe. Il s’avère qu’il est très dur d’oreille, ET très autonome. Il ne veut pas que ce soit son fils qui reçoive les instructions concernant les médicaments, et pas lui. Aussi l’assistant du camp, très gentiment, lui communique lentement et à voix forte toutes les instructions directement dans l’oreille. L’assistant parle TRES fort, et après l’avoir écouté, le visage de l’homme s’éclaire de compréhension, et il part très heureux, souriant et parlant fort, toute inquiétude ayant quitté son visage.