
Malu est épouse et mère, cependant il y a 4 ans son mari l’a quittée pour une autre femme. Cela s’est passé après une longue histoire de mauvais traitements et de tromperie dans son mariage. Maintenant Malu ne voit pas comment prendre soin d’elle ou de son enfant, elle a un sentiment d’échec, d’incompétence, et n’a aucune confiance en elle. Bien qu’elle ait porté plainte auprès de la police pour des mauvais traitements présumés, et que ces plaintes aient été suivies d’effet, son mari a ignoré les injonctions de la police et a continué à fuir ses responsabilités.
Lorsque Malu prit contact avec le Centre de Sai Maa pour l’Emancipation des Femmes, elle se sentait prisonnière d’un enchevêtrement de tromperies. Sans le savoir, elle avait épousé un alcoolique qui multipliait les liaisons amoureuses, et son mari n’avait pas changé de comportement une fois marié. Malu admit que son mari la contraignait à des actes d’intimité sexuelle, qu’il la battait et la privait d’argent et de nourriture si elle refusait. Elle était retournée chez ses parents pour lui échapper, mais son mari la suivit et vécut avec elle au domicile de ses parents, tout en poursuivant sa liaison présumée. Malu découvrit même qu’il avait menti à son employeur, et que par ses mensonges au sujet de sa santé à elle, il avait obtenu de l’argent pour sa maîtresse.
Avec la conseillère Malu discuta ouvertement de ses difficultés avec son mari, mais eut plus de réticences à aborder la relation avec son beau-frère. Avant qu’elle ne reparte chez ses parents, son beau-frère l’avait agressée sexuellement. Le mari de Malu avait soutenu le beau-frère plutôt qu’elle. Sa belle-sœur non plus ne lui avait apporté aucun soutien, lui disant au contraire que pour que l’une comme l’autre aient une vie heureuse, elles devaient coopérer avec leurs maris. Elle se sentait piégée, humiliée et honteuse.
Au Centre d’Emancipation des Femmes Malu reçut le soutien pratique et émotionnel dont elle avait besoin pour maintenir sa détermination. Elle reçut des conseils concernant ses droits en tant que femme, et dans ce cas, ses droits juridiques. Cet accompagnement et cette éducation se poursuivent. Le personnel du Centre a également aidé Malu à faire progresser un procès pour violence domestique contre son mari et ses beau-frère et belle-sœur, procès qui s’était enlisé et qu’elle a finalement gagné. Son mari lui paie maintenant chaque mois une pension alimentaire qui couvre ses besoins élémentaires. D’autres enquêtes juridiques sont également entreprises pour le compte de Malu afin de déterminer la meilleure stratégie pour les procès encore en attente, concernant la violence domestique et l’agression sexuelle.
Avec la conseillère Malu discuta ouvertement de ses difficultés avec son mari, mais eut plus de réticences à aborder la relation avec son beau-frère. Avant qu’elle ne reparte chez ses parents, son beau-frère l’avait agressée sexuellement. Le mari de Malu avait soutenu le beau-frère plutôt qu’elle. Sa belle-sœur non plus ne lui avait apporté aucun soutien, lui disant au contraire que pour que l’une comme l’autre aient une vie heureuse, elles devaient coopérer avec leurs maris. Elle se sentait piégée, humiliée et honteuse.
Au Centre d’Emancipation des Femmes Malu reçut le soutien pratique et émotionnel dont elle avait besoin pour maintenir sa détermination. Elle reçut des conseils concernant ses droits en tant que femme, et dans ce cas, ses droits juridiques. Cet accompagnement et cette éducation se poursuivent. Le personnel du Centre a également aidé Malu à faire progresser un procès pour violence domestique contre son mari et ses beau-frère et belle-sœur, procès qui s’était enlisé et qu’elle a finalement gagné. Son mari lui paie maintenant chaque mois une pension alimentaire qui couvre ses besoins élémentaires. D’autres enquêtes juridiques sont également entreprises pour le compte de Malu afin de déterminer la meilleure stratégie pour les procès encore en attente, concernant la violence domestique et l’agression sexuelle.