
Le 5 février l’Initiative contre la Faim Just One a offert sa première distribution de nourriture de 2016 au Sathya Sai Maa Moksha Dham. A mon arrivée à l’Ashram le soleil d’hiver inondait l’espace où le programme devait se dérouler, et les assistants préparaient déjà la venue des enfants du quartier.
Sur un côté l’équipe de cuisine prépare la pâte et fait chauffer l’huile pour faire des puris tout frais (pain frit servi chaud) pour les enfants. Des marmites de curry de chou-fleur et petits pois attendent, prêtes pour le service, ainsi qu’un grand bac de gulab jamin, un dessert au sirop à la rose très populaire en Inde. Les nattes sur lesquelles les enfants s’assoient sont déjà disposées, et en ce moment une offrande de nourriture est faite dans le temple de l’Ashram pour que la nourriture offerte aux enfants soit bénie par le Divin.
Sur un côté l’équipe de cuisine prépare la pâte et fait chauffer l’huile pour faire des puris tout frais (pain frit servi chaud) pour les enfants. Des marmites de curry de chou-fleur et petits pois attendent, prêtes pour le service, ainsi qu’un grand bac de gulab jamin, un dessert au sirop à la rose très populaire en Inde. Les nattes sur lesquelles les enfants s’assoient sont déjà disposées, et en ce moment une offrande de nourriture est faite dans le temple de l’Ashram pour que la nourriture offerte aux enfants soit bénie par le Divin.
A 11.15 la première petite école franchit les portes de l’Ashram Les élèves sont calmes et disciplinés, aux côtés de leurs enseignants, bien que leurs visages s’illuminent de grands sourires quand ils me voient. Ces enfants sont de tous âges mais ils fonctionnent ensemble harmonieusement et obéissent remarquablement aux directives que leur donnent leurs enseignants. Cette école accepte tous ceux qui souhaitent recevoir une éducation de base, indépendamment de leur âge, et les classes sont organisées selon le niveau de connaissance et non selon l’âge, d’où une diversité des âges qu’on ne rencontre pas ailleurs.
Peu après, les enfants du quartier commencent à arriver, avec en premier les petits de 4 à 5 ans. Ils arrivent tranquillement pour vérifier si nous sommes prêts, et repartent en courant pour aller chercher leurs amis. Ils reviennent accompagnés d’enfants plus âgés, et se hâtent de monter les escaliers en direction de la zone du repas. Certains parmi les jeunes enfants viennent m’embrasser, en passant leurs bras autour de mon cou ils déposent un bisou sur ma joue. D’autres veulent jouer, et je suis vite entraîné dans des petits jeux, jusqu’à ce que les enfants s’asseyent.
Une fois les enfants assis, nous commençons à servir la nourriture et de l’eau fraîche, et nous offrons un chant avant que les enfants ne commencent à manger. Les écoliers présents sont disciplinés et polis, alors que les enfants du quartier ne sont pas aussi calmes. Très vite, ils interpellent les serveurs, réclamant davantage de légumes, d’eau ou de puris, ou simplement s’assurent que leurs amis arrivés plus tard ne manquent de rien. Nous nous occupons de chacun. Le programme débute de façon joyeuse mais aussi chaotique, et tout finit par se calmer lorsque les enfants commencent à manger.
Une fois que la plupart des enfants du quartier ont été servis, nous partageons le reste de nourriture avec les adultes des environs qui ont besoin d’un repas sain et nourrissant. Nous servons ceux qui sont malades, ceux qui sont fragiles, qui n’ont pas de travail, et aussi les sadhus, qui consacrent leur vie au Divin. En tout aujourd’hui, nous avons servi un repas complet et nutritif à 125 enfants et 50 adultes environ. Il nous reste aussi du dessert, le gulab jamin, que nous distribuons à ceux qui arrivent après la fin du repas. Une belle réussite !
Peu après, les enfants du quartier commencent à arriver, avec en premier les petits de 4 à 5 ans. Ils arrivent tranquillement pour vérifier si nous sommes prêts, et repartent en courant pour aller chercher leurs amis. Ils reviennent accompagnés d’enfants plus âgés, et se hâtent de monter les escaliers en direction de la zone du repas. Certains parmi les jeunes enfants viennent m’embrasser, en passant leurs bras autour de mon cou ils déposent un bisou sur ma joue. D’autres veulent jouer, et je suis vite entraîné dans des petits jeux, jusqu’à ce que les enfants s’asseyent.
Une fois les enfants assis, nous commençons à servir la nourriture et de l’eau fraîche, et nous offrons un chant avant que les enfants ne commencent à manger. Les écoliers présents sont disciplinés et polis, alors que les enfants du quartier ne sont pas aussi calmes. Très vite, ils interpellent les serveurs, réclamant davantage de légumes, d’eau ou de puris, ou simplement s’assurent que leurs amis arrivés plus tard ne manquent de rien. Nous nous occupons de chacun. Le programme débute de façon joyeuse mais aussi chaotique, et tout finit par se calmer lorsque les enfants commencent à manger.
Une fois que la plupart des enfants du quartier ont été servis, nous partageons le reste de nourriture avec les adultes des environs qui ont besoin d’un repas sain et nourrissant. Nous servons ceux qui sont malades, ceux qui sont fragiles, qui n’ont pas de travail, et aussi les sadhus, qui consacrent leur vie au Divin. En tout aujourd’hui, nous avons servi un repas complet et nutritif à 125 enfants et 50 adultes environ. Il nous reste aussi du dessert, le gulab jamin, que nous distribuons à ceux qui arrivent après la fin du repas. Une belle réussite !