
Le 18 août, l’équipe de Just One s’est rendue dans le quartier de Dev Pokri à Varanasi, en Inde, et a nourri 150 enfants et adultes.
Pour y parvenir, j’ai parcouru un labyrinthe de ruelles, en remarquant que la qualité des constructions se détériorait progressivement jusqu’à ne plus être que de simples bâtiments de briques nues. J’ai même eu la surprise de découvrir de simples huttes de toile avec un sol en terre battue, lorsque je suis arrivée. Les habitants de Dev Pokri avaient découvert un espace vacant au centre de Varanasi et y avaient construit leurs huttes – des huttes tellement petites comparées aux bâtiments environnants. Alors que nous sommes à la saison de la mousson, je me suis demandé comment cela se passe pour les habitants lorsqu’il se met à pleuvoir.
Pour y parvenir, j’ai parcouru un labyrinthe de ruelles, en remarquant que la qualité des constructions se détériorait progressivement jusqu’à ne plus être que de simples bâtiments de briques nues. J’ai même eu la surprise de découvrir de simples huttes de toile avec un sol en terre battue, lorsque je suis arrivée. Les habitants de Dev Pokri avaient découvert un espace vacant au centre de Varanasi et y avaient construit leurs huttes – des huttes tellement petites comparées aux bâtiments environnants. Alors que nous sommes à la saison de la mousson, je me suis demandé comment cela se passe pour les habitants lorsqu’il se met à pleuvoir.
Ici, les enfants et leurs familles sont tous attachants, accueillants et ouverts. On ressent un bel esprit de communauté, les adultes présents surveillant les enfants et aidant au service. Les adultes aussi ont faim, mais ils attendent patiemment que tous les enfants du village aient été servis.
Ces enfants sont tellement mignons. Pendant qu’ils mangent, je joue avec eux, je les prends en photo, leur montre leurs photos, et nous rions ensemble. Leurs sourires sont tellement authentiques, et je ressens leur innocence. Ils sont curieux de savoir qui je suis, et de mon côté je savoure cette opportunité de les regarder jouer.
Ces enfants et leurs familles ont parcouru des centaines de kilomètres pour venir à Varanasi, où ils vendent des ballons de baudruche, des jouets et d’autres articles en plastique. Je trouve très étonnant que des gens viennent de si loin pour vivre dans ces huttes de terre et vendre des jouets en plastique, mais cela doit représenter pour eux une alternative préférable à la situation qu’ils ont quittée. Il est réconfortant d’apprendre que beaucoup de ces enfants vont maintenant à l’école, un avantage rendu possible par leur installation dans une grande ville comme Varanasi.
J’ai pu avoir un aperçu de la réalité de la vie ici lorsqu’il s’est soudain mis à pleuvoir. Le changement d’humeur fut rapide et j’ai vu un jeune garçon se mettre à pleurer quand la pluie est arrivée. J’ai senti combien cela doit être terrible parfois, mais en même temps j’ai été très touchée par leur courage et leur entrain, malgré les conditions extérieures. Cela a été un honneur de servir ce village et de partager un repas, permettant aux résidents de se détendre tandis que l’on prenait soin d’eux.
Ces enfants sont tellement mignons. Pendant qu’ils mangent, je joue avec eux, je les prends en photo, leur montre leurs photos, et nous rions ensemble. Leurs sourires sont tellement authentiques, et je ressens leur innocence. Ils sont curieux de savoir qui je suis, et de mon côté je savoure cette opportunité de les regarder jouer.
Ces enfants et leurs familles ont parcouru des centaines de kilomètres pour venir à Varanasi, où ils vendent des ballons de baudruche, des jouets et d’autres articles en plastique. Je trouve très étonnant que des gens viennent de si loin pour vivre dans ces huttes de terre et vendre des jouets en plastique, mais cela doit représenter pour eux une alternative préférable à la situation qu’ils ont quittée. Il est réconfortant d’apprendre que beaucoup de ces enfants vont maintenant à l’école, un avantage rendu possible par leur installation dans une grande ville comme Varanasi.
J’ai pu avoir un aperçu de la réalité de la vie ici lorsqu’il s’est soudain mis à pleuvoir. Le changement d’humeur fut rapide et j’ai vu un jeune garçon se mettre à pleurer quand la pluie est arrivée. J’ai senti combien cela doit être terrible parfois, mais en même temps j’ai été très touchée par leur courage et leur entrain, malgré les conditions extérieures. Cela a été un honneur de servir ce village et de partager un repas, permettant aux résidents de se détendre tandis que l’on prenait soin d’eux.